Cameron
Hamilton a l'habitude d'obtenir tout ce qu'il désire, surtout
lorsque cela concerne les femmes. Mais quand Avery Morgansten
débarque dans sa vie, il rencontre la première personne résistant
à ses beaux yeux bleus. Mais Cam n'est pas prêt à abandonner la
partie. Il n'arrive pas à sortir cette fille de ses pensées.
Avery
a ses secrets, des secrets qui l'empêchent d'admettre les sentiments
qu'elle ressent pour Cam. Sa persistance (et ses délicieux cookies)
briseront-ils ses barrières et gagnera-t-il sa confiance ? Ou bien
perdra-t-il sa première véritable chance d'un amour fait pour durer
?
(Traduction
empruntée au site http://www.boulevarddespassions.com
que je ne peux que vous conseiller!)
Nous
portons tous un « gloussomètre », « un
soupiromètre » et un « larmomètre » en nous. Oui, tous.
Je vois déjà vos regards perplexes, voire inquiets. Mais de quoi
elle parle ? D'un virus incurable ? D'une bactérie
mangeuse de cerveaux (le mien va très bien, mais merci de vous en
inquiéter!) D'esprits qui prennent possession de nos corps ?
Non, non, rien de tout cela. Promis.
(Le Chat, je te vois venir : Je suis saine d'esprit, je t'assure. Je
n'ai pas été piquée par une araignée qui aurait détraqué mon
équilibre et je ne suis pas un ratel réincarné !)
Bon,
tout cela ne résout pas notre problème. De quoi s'agit-t-il ?
Un
gloussomètre, un soupiromètre, un larmomètre sont des petits
phénomènes internes, que nous avons donc tous en nous, qui
permettent de mesurer nos gloussements, soupirs et larmes pendant une
lecture. En quoi sont-ils importants ? Pour certaines lectures,
ils sont un excellent indicateur de la qualité du récit et ils sont
très utiles pour les romances.
Maintenant,
vous voyez de quoi je parle, non ? Vous savez, ces gloussements
qui nous échappent alors qu'on est dans le métro et qui flanquent
des torticolis à nos voisins qui essayent de lire le titre du roman
qui nous met dans de tels états (« parce que ça a l'air
vraiment bien! »), roman dont on aura veillé au préalable à
cacher la couverture parce que euh... Elles sont parfois vraiment too
much... (D'ailleurs celle-ci n'est pas des plus réussies...) Sans parler de ces soupirs que l'on retient jusqu'à en
attraper des points de côtés parce qu'ils ne sont pas des plus
flatteurs en public (« mais il lui arrive quoi à la dame? »
Gênant... très gênant...) Et que dire de ces larmes que l'on
déverse à torrents dans la salle d'attente du dentiste, et qui, en
plus de nous donner un air franchement pathétique (le nez irrité et
les yeux rouges, il y a plus sexy...), effraie les patients car ils
se disent que c'est le très-méchant-dentiste qui nous met dans un
tel état (et là, ce n'est pas de la compassion pour nous, ils ont
très peur pour leur dentition à eux, du genre : « mais
il fait si mal que ça ? »).
Ah,
ça y est... Je vois à la lueur dans vos yeux que nous nous
comprenons. Bon, donc on a tous un « gloussomètre », un
« soupiromètre » et un « larmomètre » en
nous. Ils ne fonctionnent pas toujours ensemble d'ailleurs, ils sont
indépendants, mais collaborent parfois.
Eh
bien, mon « gloussomètre » a relevé des scores plus
hauts que l'Everest pendant cette lecture. Bien plus hauts. J'en ai
explosé le plafond du ciel. Et mon « soupiromètre » ?
Pas compliqué, rien que de savoir que Cam allait être le narrateur
de ce roman... pfiou.. il était déjà tout fébrile. Et pourtant,
je n'aime pas savoir ce que pensent les héros en général. Être
dans la tête d'un homme, ce n'est pas pour moi. Mais Cam ?
C'est l'homme parfait... (Tiens, mon « soupiromètre »
vient de s'activer.)
Evidemment,
dans ce récit, pas vraiment de surprises étant donné que nous est
relatée l'histoire de Cam et d'Avery, mais selon le point de vue de
Cam. (Gloussomètre qui s'agite). Pas de surprises donc, mais un ensemble
toujours aussi mignon, avec une Avery touchante et un Cam
exceptionnel (Soupiromètre). On suit Cam dans son cheminement vers
Avery, ses interrogations, ses doutes, ses failles aussi, on le
découvre avec ses amis, sa famille... Et ...(soupiromètre +
gloussomètre)
L'écriture
de Jennifer L. Armentrout est toujours aussi fluide, les personnages
vraiment bien dessinés, et l'auteure évite tous les écueils d'une
vulgarité qui m'aurait fait sauter des pages (j'aurais d'ailleurs
bien aimé qu'il y ait plus de pages...), et si mon « larmomètre »
ne s'est pas emballé (enfin, heureusement pour moi d'ailleurs, parce
que glousser, soupirer et pleurer en même temps, ça aurait fait
beaucoup pour une seule nuit. Comment ? Non, je ne viens pas
d'avouer l'avoir lu en quelques heures simplement. Pas du tout. J'ai
éteint très tôt. A deux heures du matin. C'est tôt non ?),
mon gloussomètre et mon soupiromètre on fait la java. Ils étaient
déchaînés. Ils ont adoré en savoir plus sur Cam, découvrir
certaines facettes de sa personnalité (eh, oh, gloussomètre, on se
calme !), comment il voit Avery qui n'en est que plus émouvante.
Bon,
vous l'avez compris je crois, dire que je suis accro à ce petit couple est un euphémisme.
(Et
pour Melliane : je l'ai lu en espagnol, et pas en anglais...
Non, non, je n'ai pas encore sombré du côté obscur de la force!)
J'ai tellement aimé "Jeu de patience" qu'il faut vraiment que je le lise celui-ci du coup !! :D (C'est mon banquier aussi qui ne va pas être content ^^)
RépondreSupprimerC'est sûr que nos banquiers, ils sont un tantinet grognons je trouve! :)
SupprimerUne chronique qui a fait fonctionner mon "souriromètre" même si je ne connais pas cette saga. A découvrir apparemment^^
RépondreSupprimerOuiii!! Clairement une saga à découvrir!
Supprimerlol un espoir pour moi et l'anglais. C'est cool que tu apprécies toujours autant !
RépondreSupprimerNan, nan, pas d'espoir, du moins pour le moment! lol
SupprimerOk, j'ai le premier et le second tome dans ma PAL et je te vois déjà me dire: "Non mais Bea, qu'est ce que tu attends!!!" Bref, malgré toutes les chroniques positives, je n'ai pas trouvé le temps de le commencer.
RépondreSupprimerQuoi, tu n'es pas encore passer du côté obscur de la force. Même moi, je commence à y glisser doucement. Enfin, on en reparle quand j'aurais fini mon premier livre en VO.
Bisous Céline. ^^
ah mais le premier, il faut le sortir illico de ta PAL! Il y a Cam dedans, et Cam (long soupir)...
SupprimerTu as sombré ? ahhhh
J'ai sombré, je suis amoureuse de Cam ça y est! Pourquoi il existe pas en vrai!!!!!
SupprimerAhhh, Cam... (long soupir). Il va être dur à détrôner celui-là!
SupprimerEt je suis d'accord, on devrait même faire une pétition pour qu'il prenne vie et existe pour de vrai. C'est une idée, les Dieux ont des tas de pouvoir, alors pourquoi pas celui-ci? hein, c'est vrai quoi!
Cameron Hamilton... juste waouh!!!!!!!
SupprimerOuiiiii!!
SupprimerJ'adore cette auteure ❤ je vois très bien de quoi tu parles pour le gloussomètre, soupiromètre, et surtout larmomètre :p tu me donnes en tout cas très envie de découvrir cette romance :)
RépondreSupprimerAh mais le gloussomètre et ses petits copains ils sont terribles hein!
SupprimerJe n'ai lu que le tome 1 que j'avais beaucoup apprécié, il faut que je me lance dans la suite car je viens de m'acheter le tome 3 lol!
RépondreSupprimerJ'adore cette série! Il faut vraiment que tu la continues!
SupprimerUn gloussomètre, un soupiromètre et un larmomètre! Tu me fais trop rire toi :D
RépondreSupprimerUne lecture qui a ébranlé ton gloussomètre. mdrrrr Tentant...
"le nez irrité et les yeux rouges, il y a plus sexy" - ça doit quand même avoir son charme ^^
Bisous
Mais j'ai du charme en toutes circonstances! nanmého! :)
SupprimerCa y eeeeest, elle est fooooolle :D !
RépondreSupprimerMais cela dit, je suis curieuse de lire cette histoire !
Non, ma raison mentale va bien! Enfin je crois! :)
SupprimerRoh la la ton avis me donne terriblement envie de me plonger dedans mais comme j'ai prêté le premier tome à Béa je devrais attendre, mais j'ai hâte de rencontrer le charmant Cam en plus j'adore ce prénom :D
RépondreSupprimerAlors Cam... Ahhh Cam... C'est je crois, mon personnage masculin favori... ahhh
Supprimer