samedi 27 août 2016

Mon médecin et les Highlanders, 3/3


La vallée des larmes, tome 1

En 1695, en Ecosse, Caitlin a dix-neuf ans et travaille comme domestique au manoir Dunning, où la violence du maître des lieux fait de sa vie un enfer. Jusqu'au jour où elle le tue et s'enfuit. Elle croise alors le chemin de Liam Macdonald, un highlander au passé douloureux. Dès lors, leurs destins sont irrémédiablement liés. Caitlin s'éprend bientôt de ce géant ténébreux et le suit dans son village. Elle y découvrira l'hospitalité et le courage du peuple des Highlands mais aussi la jalousie, la rivalité et les batailles sanglantes entre clans qui sèmeront bien des obstacles sur le chemin de leur union.

La saison des corbeaux, tome 2

Vingt ans ont passé depuis la rencontre tumultueuse entre l'Irlandaise Caitlin et Liam Macdonald, le fier Highlander. Ils vivent heureux dans la vallée de Glencoe avec leurs enfants, Duncan Coll, Ranald et Frances. Mais, en 1715, l'Ecosse plonge de nouveau dans le chaos. L'enjeu : remettre un Stuart sur le trône. Le cœur gros, Caitlin voit partir son mari et ses deux fils. Tandis que les affrontements font rage, Duncan tombe fou amoureux de la flamboyante Marion Campbell, la fille de leur ennemi de toujours. La résurgence de vieilles rancunes et la cruauté de la guerre vont durement éprouver la famille Macdonald...

La terre des conquête, tome 3

Alexander Macdonald, petit-fils de Liam et Caitlin, s'engage dans les Fraser Highlanders, alliés à la couronne anglaise pour la conquête de la Nouvelle-France. Il se retrouve en terre d'Amérique à combattre Français et Indiens lors de la mémorable bataille des plaines d'Abraham de 1759. Au cours de l'occupation de Québec, il rencontre Isabelle Lacroix, fille d'un riche marchand. En dépit de ce qui les sépare, ils cèdent à une passion dévorante. Mais si la capitale a hissé le drapeau blanc, les combats n'ont pas cessé pour autant. L'amour est-il si puissant qu'il peut résister aux ravages de la guerre ?

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Toute ressemblance avec des faits réels ne serait que pure coïncidence.
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En ouvrant la porte du cabinet de Monsieur-mon-médecin, je constate avec plaisir qu'elle ne grince plus. Il a dû la huiler ou la graisser. Je ne sais pas si on graisse ou on huile une porte, mais au moins, elle ne fait plus ce bruit si désagréable, ce que mes oreilles apprécient. Par contre la poignée est bouillante et ma peau se plaint.

Ouille....

Je retire ma main précipitamment. J'aurais dû prendre un mouchoir, je le savais. Aujourd'hui il fait chaud, très chaud. Les médias parlent même de canicule, mais j'étais en retard. En retard de... Je compte mentalement... Deux mois en fait. J'aurais du venir voir mon médecin il y a deux mois déjà, c'est ce qu'il m'avait demandé, mais j'ai été très occupée. Par mes lectures. Très occupée par mes lectures et... Bon, d'accord, par mes lectures uniquement. Il va falloir que je réfléchisse à ce que je vais lui donner comme excuse, et vite. Je suis partie m'occuper des bébés pandas en Chine ? Ça pourrait expliquer mes cernes sous mes yeux. Je me suis tellement immergée dans mon action pour la préservation de ces charmantes petites bêtes que j'en ai même adopté l'aspect. Enfin juste les taches autour des yeux. 

Non, ça ne prendra pas.

Je m'installe sur un siège dans la salle d'attente après avoir salué la maman accompagnée de son adorable bambin. Nous nous sommes déjà rencontrées. J'hésite à lui dire qu'il y a un truc cosmique entre nous pour qu'on ait à chaque fois rendez-vous le même jour, elle risquerait de me prendre pour une folle. Surtout qu'elle s'efforce de maintenir son chérubin sur son siège en attachant ses mains avec son foulard. Elle esquive avec habilité un coup qui visait vraisemblablement sa carotide. Il bouge beaucoup l'animal ! Je suis sûre qu'elle au moins, elle ne s'est pas brûlée la main en ouvrant la porte, elle a pensé à prendre un foulard. 

Note pour moi-même: toujours avoir un foulard dans mon sac à main.

Je jette un coup d'oeil à la salle d'attente. Les affiches ont changé, elles ne sont plus consacrées aux MST, mais prodiguent des conseils pour avoir un bon transit intestinal.
– Nom de Zeus, ça brûle ! s'exclame une voix masculine en ouvrant la porte.
C'est justement le monsieur qui a des légers problèmes gastriques, lui aussi doit être relié avec nous par un truc cosmique, ce n'est pas possible. J'espère que les affiches auront été efficaces.
– Mesdames, nous salue-t-il courtoisement avant de s'assoir.
Une volée sonore de flatulences donne le ton.
Ah non. Pas efficaces.
Et moi qui n'ai pas même pensé à prendre un mouchoir ou foulard dans mon sac !
Je bloque ma respiration. J'espère que monsieur-mon-médecin ne sera pas de la même espèce que moi en ce qui concerne les retards, parce que je suis loin de pouvoir concourir au championnat d'apnée.
– Maman, je meurs ! crie le diablotin en essayant de se dégager les mains, sans doute pour les mettre sur son nez.
Sa mère a le teint légèrement bleu, elle non plus ne serait pas une concurrente valable pour le concours d'apnée. Dans un réflexe mué par son profond instinct maternel elle ouvre son sac à main, attrape sa progéniture par la nuque et lui fourre la tête dedans.
– Respire mon chéri, respire ! l'encourage-elle entre deux halètements.
– Maman, j'ai un de tes tampons dans la bouche ! gémit le petit.
Je n'entends pas la réponse de Maman-parfaite, la porte du cabinet s'ouvre et sans attendre davantage, je me rue à l'intérieur. L'apnée n'est vraiment pas mon fort.

Monsieur-mon-médecin me fait signe de m'installer, mais je reste un instant interdite devant la vision qui s'offre à moi. Derrière lui se trouve son sempiternel squelette, qui arbore fièrement une casquette et une écharpe des JO de Río. Je sais où monsieur-mon-médecin a passé ses vacances... Ça explique son bronzage un peu trop accentué. Mais ce n'est pas ça qui me déstabilise. En entrant, j'ai eu l'étrange sensation que le Río-squelette tournait la tête vers moi, ce qui est évidemment impossible étant donné que, dans la définition d'un squelette, l'absence de muscles et de tendons est essentielle. Peut-être est-ce dû au ventilateur qui s'agite dans un coin de la pièce et nous renvoie de l'air chaud.
– Comment allez-vous ? me demande Monsieur-mon-médecin une fois que je suis installée.
– Très bien ! Je pense appeler mon fils Liam... Ou Jamie... Ou Colin... Mais surtout pas Matthew... Ça non... Le Chat du Cheshire a vraiment trop mauvais goût... lui réponds-je en posant mon sac à mes pieds.
– Vous fréquentez toujours ce Chat du Cheshire ?
Le Río-squelette vient encore de bouger. Sa mâchoire s'est refermée, comme s'il désapprouvait. Techniquement, elle ne peut pas se refermer seule. Je le surveille du coin de l'oeil. Rien. J'ai dû rêver. La faute à la canicule, j'ai lu qu'un excès de chaleur pouvait provoquer des hallucinations. Ou alors c'est vraiment le ventilateur...
– Donc, vous êtes enceinte ? poursuit le médecin en ne me laissant pas le temps de répondre à la question précédente.
– Moi ? Mais non ! Pourquoi vous me demandez ça ? pouffé-je à cette idée.
Avec les enfants, je suis aussi habile qu'un éléphant dans un magasin de porcelaine, et encore, si je devais parier sur celui qui ferait le moins de dégâts, je parierais sur l'éléphant. 
Il fronce tellement les sourcils qu'ils forment maintenant une ligne continue sur son front.
– C'est vous qui venez d'en parler.
– Mais non... Je viens juste de dire que si j'avais un fils, je l’appellerais Liam ou Jamie ou Colin ou Aiden ou Cameron...
Je pose un doigt sur mon menton avant de reprendre.
– En fait, je crois que je pourrais l'appeler : Liam-Jamie-Colin-Aiden-Cameron, avec les tirets vous voyez. Ça serait original non ?
– Vous êtes sûre que vous n'êtes pas enceinte ? insiste-t-il. Les hormones pourraient expliquer ces... errances.
– Oui, je suis sûre.
Il note quelque chose sur le cahier qu'il a ouvert devant lui.
– Vous prenez toujours vos médicaments?
– Quels médicaments ?
Oups...

Note pour plus tard: toujours tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler.

– Ceux que je vous ai prescrits... soupire-t-il.
– Ahhh, ceux-là...
Est-ce qu'on a droit à un joker avec un médecin ? Comme ça, pas besoin de mentir. Mentir c'est mal. J'essaie pour voir.
– Joker !
J'accompagne ce tout petit mot de mon plus charmant sourire.
Au rythme frénétique de sa plume sur la feuille, je me rends immédiatement compte que je n'ai pas donné la bonne réponse. J'essaye encore, hésitante.
Euh... oui ?
La tête du Río-squelette se relève légèrement, comme s'il était outré de mon mensonge. Je lui jette un regard assassin, on ne sait jamais.
La plume s'accélère encore.
Mauvaise réponse x2
Il n'arrête pas d'écrire.

Note pour plus tard: ne jamais mentir à son médecin, après il écrit des tonnes de trucs sur ses cahiers.

Le ventilateur tourne toujours et envoie son flot d'air chaud. Je me frotte les mains sur le tissu de ma jupe, légèrement mal à l'aise.
– D'accord, d'accord, je ne suis pas passée à la pharmacie. Mais je n'en ai pas besoin, me hâté-je d'ajouter.
Il continue d'écrire.
– Vous avez retrouvé le sommeil ?
Si je lui redis "joker", je ne suis pas sûre qu'il apprécie. Je hausse les épaule négligemment.
– J'ai trouvé une super saga sur des highlanders.
Il s'immobilise et me regarde d'un air navré. Oui, d'un air navré, alors qu'il devrait prendre ça pour ce que c'est : une excellente nouvelle ! Les bons livres sur des highlanders sont rares.

Je le vois lever une main pour m'empêcher de continuer.
– Attendez, s'il vous plait.
Il ouvre le tiroir de son bureau et en sort un cahier tout neuf et son téléphone. Que diable fait-il avec son téléphone ? Il ne va quand même pas me faire interner ? Pas déjà !
Il fait défiler ses contacts et la tension monte dans mon corps. Il en sélectionne un. Il me semble avoir aperçu une photo de femme, mais je n'en suis pas très sûre.
– Mon petit sucre d'orge caramélisé, oui, c'est moi, ton Choupinou d'amour...
Ouh là, c'est perturbant ça... Je ne sais pas si je dois m'autoriser à me détendre.
Il poursuit.
– Non, non, tout va bien. Oui, j'ai pensé à allumer le ventilateur. Oui, ma gaufrette à la chantilly, je devrais faire installer une clim, mais tu sais que ça me rend malade. Oui, tu as raison... Ma brioche à la confiture, je suis en train de travailler... Oui, je le ferai, je passerai t'acheter tes bonbons au miel, ma guimauve à la pistache. Je voulais juste te prévenir qu'elle est là. Qui ça, elle ? Mais ELLE, évidemment.
Un cri à l'autre bout de la ligne me fait sursauter. Il est presque aussi effrayant que le Río-squelette.
– Elle est là ?
Je devrais peut-être m'inquiéter et partir discrètement, d'autant plus que le Río-squelette vient de pencher la tête, faisant glisser sa casquette sur le côté. L'air du ventilateur n'a pourtant pas l'air suffisamment fort pour déplacer des parties de son corps, et surtout, il n'est pas du tout orienté vers lui.
– Mon petit banana split à la framboise, tu te souviens ce qu'on a dit, je te mets sur haut-parleur mais tu n'interviens pas, je travaille.
Je réprime un hoquet en le voyant poser son téléphone sur le bureau, le plus près possible de moi.
Et la confidentialité des médecins ? Et s'il se servait de la gaufrette à la chantilly comme témoin pour me faire enfermer ? Il vient d'ailleurs d'ouvrir le cahier neuf.

– Vous me disiez donc que vous aviez trouvé, je vous cite "une super saga avec des highlanders"...
Le mot magique : Highlanders. Quelle douce musique à mes oreilles. Highlanders...
Mes craintes s'envolèrent aussitôt, tout comme la désagréable sensation d'avoir vu les yeux du Río-squelette briller, mes épaules se relâchent
– L'auteure, Sonia Marmen s'est inspirée d'une tragédie historique, le massacre du clan des MacDonalds de Glencoe par le roi d'Angleterre Guillaume III en 1692 et à partir de là, elle a imaginé comment le clan faisait pour se reconstruire après ce drame. Le héros, Liam, a tout perdu. Sa femme et son fils ne s'en sont pas sortis. C'est un homme loyal, courageux et fort, mais profondément meurtri. Il ne vit que pour servir son clan, jusqu'à ce qu'il croise la route de Caitlin. Elle sert au manoir Dunning où elle subit les pires sévices de la part du maître des lieux. Un jour, ne pouvant en supporter davantage, elle le tue et tombe sur Liam alors qu'elle essaie de s'enfuir. Commence leur histoire qui sera faite de larmes, de violence, d'amitié mais aussi d'amour, de beaucoup d'amour.
Je pousse un long soupir et il me semble entendre son écho dans le haut-parleur du téléphone toujours posé sur le bureau.
– Liam est vraiment un personnage incroyable. Il n'est pas parfait, loin de là, mais c'est un homme déterminé prêt à tout pour garder sa deuxième chance près de lui. Caitlin est parfois une tête à claques, mais c'est normal, elle est jeune. L'auteure a fait un énorme travail de recherches sur l'époque pour rendre son récit crédible dans les moindres détails. Plus qu'une romance, c'est une immersion dans un autre temps, dans un univers cruel et impitoyable dans lequel les choix s'imposent parfois d'eux-mêmes, même s'ils sont douloureux.
– Et les autres tomes ? me demande une petite voix à travers le téléphone.
– Mon rouleau de réglisse à la menthe, je travaille, la réprimande le Choupinou-d'amour.
Je ne tiens pas compte de son intervention et souris doucement, comme si le rouleau de réglisse à la menthe pouvait me voir.
– Les autres tomes suivent les descendants de Caitlin et Liam, leurs enfants, puis leur petit-fils. Le tome 2 nous permet d'ailleurs de les retrouver vingt ans après et ne les épargne pas. J'ai beaucoup pleuré dans ce tome, beaucoup pesté aussi, mais la fin... ahhh, la fin... Les autres tomes sont finalement dans la lignée du premier. Tout aussi bien écrits, tout aussi haletants avec des personnages pour lesquels on vibre et on souffre. On pourrait lire chaque tome indépendamment, ça ne serait pas un problème.
Et donc, vous n'avez pas dormi... me dit le Choupinou-d'amour qui est aussi Monsieur-mon-médecin.
– Mais bien sûr que si ! protesté-je avec véhémence.
– Vous êtes sûre ?
Je me mordille la lèvre inférieure.
– Enfin, quelques heures. Juste ce qu'il faut...
Il secoue la tête.
– Bon, vous ne me laissez pas le choix, il va falloir vous interner.

D'un bond je suis debout et je calcule qu'en quatre foulées je serais dehors. Peut-être cinq. Monsieur-mon-médecin est un brin bedonnant, il ne doit pas être rapide, sauf si son passe-temps favori est le rugby et qu'il est un as du placage, mais je suis prête à courir le risque. Je me baisse pour attraper mon sac quand je remarque que les yeux de Río-squelette brillent beaucoup plus franchement. Il est impossible que ses yeux brillent. Essentiellement parce qu'en plus de ne pas avoir de muscles et de tendons, il n'a pas d'yeux. Il n'a que des orbites vides, ils ne peuvent donc pas briller, c'est une évidence, une logique imparable.

Mais pourtant ils brillent.
Beaucoup.
De plus en plus.
Merdum Cacadum, ça sent mauvais, et je ne parle pas du monsieur-aux-problèmes-gastriques.

Je recule de quelques pas, la porte me semble bien lointaine tout à coup. Monsieur-mon-médecin semble aussi figé qu'une statue. J'irais bien vérifier si c'est le cas, mais je m'abstiens. Une question de priorités.

La lumière qui sort des orbites de Río-squelette vient l'englober totalement et semble envahir peu à peu la pièce.
Ça me rappelle quelque chose... 
Non ! Pas encore !
Et je suis seule!
Merdum Cacadum puissance 1000.

Je n'ai pas le temps de dégainer mon téléphone qu'une masse sombre apparaît dans le halo de lumière. Je la reconnais.

Les Dieux-de-tous-les-trucs-de-la-mer-et-de-la-terre.

Note pour moi-même: penser à prendre un sac plus grand et du nutella pour avoir Jimmy la gargouille toujours avec moi.

Est-ce que si je me cache dans la poubelle sous le bureau ils me verront ?


PS: Finalement, c'était bien une chronique de la liste noire des livres interdits!

27 commentaires:

  1. Ah ah GLOIRE ! LES DIEUX M'ONT ENTENDUE ! Ca t'apprendra à dire du mal de mon Matthew, manante :
    (Cela dit, les livres dont tu parles ont l'air pas mal du tout :D !)

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    1. Ces livres sont tops!

      Moi, dire du mal de Matthew? Jamais (grand sourire innocent...) :)

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    2. Je t'envois les Dieux aux fesses. Et toc.

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  2. J'adore te lire toi, tu m'fais trop rire!!! ^^

    "Je suis partie m'occuper des bébés pandas en Chine" - ça passera tu penses?

    "Mon petit banana split à la framboise" - quel romantisme.............!!! ptdr

    Merci pour ce bon moment, j'adore! :D))

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  3. Merci pour ta chronique ! Je ne connaissais pas :)

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  4. Je m'en doutais ! Cela frôlait le cas d'école : squelette aux yeux anormalement actifs et aux mouvements imperceptibles, salle d'attente de plus en plus glauque et anormalement "bouillonnante" sans compter ce médecin aux prescriptions douteuses et je ne parlerai même pas de ce sale môme dans la salle d'attente doté d'une mère hystérique, qui ne pense qu'à attacher les mains de son rejeton pour qu'il se tienne tranquille... Enfin, livre-vie, je te voyais mal partie et je ne m'y suis pas trompée... La vilaine cerbère rousse doit encore être dans le coup ! Sage décision de sortir accompagnée dans l'avenir. Jimmy la gargouille ne t'a pas choisie par hasard (hum... est-ce l'amour immodéré d'un pot dont on ne doit pas prononcer le nom ou une affinité sélective pour une certaine liste noire, peu importe : les faits sont là ! Tu dois te prémunir à l'avenir, Livre-vie ! mais pour l'instant : l'heure est grave ! Le destin du peuple des Highlands est entre tes mains...

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    1. Le destin des kilts est entre nos mains...Quelle lourde responsabilité... pfiou, la lutte va être rude!

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    2. C'est cela que d'être l'élue ! ;-)
      Ceci dit, ce n'est pas peu rien "le destin des kilts" ! Cela en ferait rêver plus d'une... et d'un ! ;-))

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    3. Moi si le destin des kilts est en jeu, je suis prête à prendre les armes, nutella au poing et gargouille dans le sac ! Les kilts, c'est sacré! :)

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  5. Excellent! Et je pense que l'excuse des bébés pandas en Chine était très bonne :)

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  6. J'adore ! toujours très sympa ! je ne connaissais pas cette saga mais à tenter alors !

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    1. Cette saga est vraiment géniale, différente d'Oultander, mais vraiment très bien menée et documentée.

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  7. Bon. Ok. Je vois. J'ai vraiment pris trop de retard !
    Je vais me bloquer un créneau et rattraper tout ça, commentaires à l'appuis.
    A (très) bientôt ! Avec de la pâte à tartiner, version super stock, bien entendu. ^^

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    1. Dès que je peux je passe te faire un coucou sur ton blog! Moi aussi j'ai beaucoup de retard! grrr, la faute à ce temps qui file...

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    2. N'empêche que malgré mes bonnes résolutions, tu as rattrapé bien avant moi, j'ai honte !
      Et en même temps, c'est tellement bon de passer chez toi et de rire de ces chroniques qui ne sont pas censées en être et qui finalement en sont...
      (j'adore la mauvaise foi qui dégouline dans certains passages ^^)
      (sinon, bon, quand même, il a pris un sacré coup de vieux le Colin ! mais je crois que j'irai quand même voir le 3ème Bridget Jones, ça a l'air trop drôle)

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    3. Colin est intemporel pour moi!

      Mauvaise foi, moi? Jamais... (j'ai même mis la main sur mon coeur, là, c'est te dire! ):)

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  8. Qu'est-ce que j'ai ri en te lisant! Je note le titre, il a l'air absolument génial, et j'ai moi-même un faible prononcé pour les hommes en kilt... ;)

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    1. Tu as très bon goût alors si tu aimes les hommes en kilt! Merci de ton commentaire!

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  9. Je ne le sentais pas ce squelette avec son air hypocrite ! Faut se méfier de tout ma petite Céline, Les Dieux-de-tous-les-trucs-de-la-mer-et-de-la-terre sont partout, et ton médecin est un de leurs agents doubles, c'est un fait !!!
    Pfff, je crois que nous serons toujours surveillées de près, à nous de les balader ;-)
    Brigade "SOS kilts en danger" prête à l'action, il en faut plus pour nous décourager :D

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    1. C'est clair qu'il nous en faut plus, mais là, on cumule quand même... Même chez le médecin!

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  10. J'adore cette saga historique tout comme les Mallaig <3, je les ai lui il y aune dizaine d'année j'étais encore au lycée je crois! et depuis j'aime beaucoup les relire ^^ même si j'aime moins l'histoire de Caitlin et de Liam ce sont surtout les tomes suivants notamment avec leurs fils que j'adore :D de toute façon j'adore cette auteure <3

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    1. J'ai découvert cette auteure avec cette saga et j'adore! Tu aimes moins l'histoire de Caitlin et Liam? C'est ma préférée!

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    2. Tu les as déjà tous lus? Ma préféré est celle d'Alasdair (tome 3 & 4) et Marion et Duncan car je trouve leur histoire épique et plus combattive ^^ j'aime bcp quand les persos se détestent de base ^^. (pour les tomes j'ai les versions France Loisir donc il n'y a que 4 tomes. j'ai également son autre roman la fille du pasteur cullen qui est sympathique mais rien ne détrônera cette saga! :)

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    3. J'ai bien aimé Marion et Duncan, mais leur histoire n'a pas eu le charme de Caitlin et Liam pour moi... Par contre, tu m'intrigues, 4 tomes, je n'en ai que 3... Vais aller regarder tout ça...

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